• Avant Jésus le prochain n'existe pas; la laïcité non plus
    Jésus est le premier laïc c'est le premier à dire qu'il ne suffit pas d'aimer ses proches mais  tous les autres aussi ,
    ceux qui sont différents ,qui ne parlent pas la même langue,qui n'ont la même culture.
    C'est le premier à le dire à mettre a égalité les hommes et les femmes aussi et d'unir toutes les différences par un message d'amour.

    Avant CE MESSAGE DE JÉSUS on n'aime que ceux qui sont de la même tribu,de la même religion,du même lieu,
    ,,le prochain c'est le proche pas le lointain.

    En critiquant les religiosités ambiantes ,les prières publiques stériles ,les pharisiens ,
    les sectaires, Jésus met la religion au centre de nous mêmes pas au centre de la société ,,,
    voilà en quoi il est laïc aussi la religion c'est une affaire d'intimité 
     
    Gardez-vous de faire les bonnes œuvres devant les hommes, pour vous faire remarquer d’eux; sinon, vous n’aurez pas de récompense auprès de votre Père qui est dans les cieux.
    Quand donc tu fais l’aumône, ne va pas le claironner devant toi; ainsi font les hypocrites dans les synagogues et les rues, afin d’être loués par les hommes;
    en vérité je vous le dis, ils tiennent déjà leur récompense.
    Pour toi, quand tu fais l’aumône, que ta main gauche ignore ce que fait ta main droite, afin que ton aumône soit secrète; et ton Père, qui voit dans le secret, te le rendra. (Matthieu 6 2–4)
    Et quand vous priez, ne soyez pas comme les hypocrites : ils aiment, pour faire leurs prières, à se camper dans les synagogues et les carrefours, afin qu’on les voie.
    En vérité je vous le dis, ils tiennent déjà leur récompense.
    Pour toi quand tu pries, retire-toi dans ta chambre, ferme sur toi la porte, et prie ton Père qui est là, dans le secret; et ton Père, qui voit dans le secret, te le rendra. (Matthieu 65–6)
    Quand vous jeûnez, ne vous donnez pas un air sombre comme font les hypocrites : ils prennent une mine défaite, pour que les hommes voient bien qu’ils jeûnent. En vérité je vous le dis, ils tiennent déjà leur récompense. Pour toi, quand tu jeûnes, parfume ta tête et lave ton visage, pour que ton jeûne soit connu, non des hommes, mais de ton Père qui est là, dans le secret; et ton Père, qui voit dans le secret, te le rendra. (Matthieu 6 16–18)   
    L'espace public n'est pas fait pour la religion qui est une affaire privée
    Cette laïcité de son enseignement a permis à ce message de Fraternité de parvenir à nous,,,
     Maître cette femme a été surprise en flagrant délit d’adultère. Or, dans la loi, Moïse nous a prescrit de lapider ces femmes-là. Toi donc, que dis-tu? »…
    Comme ils persistaient à l’interroger, il se redressa et leur dit :
    « Que celui d’entre vous qui est sans péché lui jette le premier une pierre! »… Eux entendant cela, s’en allèrent un à un, à commencer par les plus vieux; et il fut laissé seul, avec la femme toujours là au milieu. Alors, se redressant, Jésus lui dit : « Femme, où sont-ils? Personne ne t’a condamnée? » Elle dit : « Personne, Seigneur. » Alors Jésus dit : « Moi non plus, je ne te condamne pas. Va, désormais ne pèche plus. » (Jean 8 4-11)
    Ce passage est intéressant en ce sens que Jésus n’a pas édicté de nouvelle règle ni abrogé une loi religieuse, il s’est contenté de placer les gens devant leur conscience. Du coup la loi religieuse perd son caractère divin, elle est désormais assujettie à la conscience humaine. Partout où elle s’invitait dans les affaires des hommes, Jésus a pris le parti de l’être humain en le libérant de l’observance aveugle ou obsessionnelle de la loi.
    En plus d'affirmer la laïcité dans le champ légal, Jésus a établi les fondements de l'humanisme.
     
    Copie d'un texte trouvé sur le net mais je connais pas l'auteur

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  • Et oui les médias du jour ne parlent que de cette neige et ce froid tellement attendus

    avec des reportages idiots sur cette neige tant attendue  par des citadins anesthésiés

    des privilégiés de notre société de consommation dirigée (par la connerie et l'égoisme )


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  • « Je demande au Seigneur la grâce que notre cœur soit simple, lumineux

    avec la vérité qu’il nous donne,

    et ainsi nous pouvons être aimables, pardonner,

    être compréhensifs avec les autres,

    d’un cœur large avec les personnes, miséricordieux ».

     

     

    Avec cette prière le Pape François a conclu ce matin, lundi 15 décembre, l’homélie de la Messe célébrée à Sainte-Marthe. « Ne jamais – a-t-il ajouté – condamner. Si tu as envie de condamner, condamne-toi toi-même. Mais ne va jamais boiter avec les deux jambes, comme le dit Elie, en essayant de profiter des situations ». Au contraire, il faut demander « au Seigneur la grâce qu’il nous donne cette lumière intérieure, qui nous convainque que lui seul est le roc et non pas tant d’histoires que nous faisons comme des choses importantes ; et que ce soit lui qui nous accompagne sur la route, lui qui élargisse notre cœur, pour que puissent y entrer les problèmes de beaucoup de gens, et que lui nous donne la grâce de nous sentir pécheurs ».


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  • Si tu as envie d'être meilleur, c'est Seigneur qui passe

    Extrait angelus du 21 décembre de François

    N’oubliez pas! Le Seigneur passe! Et si tu ressens l’envie de t’améliorer, d’être meilleur, c’est le Seigneur qui frappe à ta porte. En ce Noël, le Seigneur passe.

    Je vous souhaite à tous un bon dimanche, et un Noël d’espérance, avec les portes ouvertes au Seigneur, un Noël de joie et de fraternité.

    Lorsque nous entendons dans notre coeur : “Mais je voudrais être meilleur/e, je regrette ce que j’ai fait ». Là, c’est vraiment le Seigneur qui frappe. Il te fait ressentir cela, l’envie d’être meilleur, l’envie de rester plus proche des autres, de Dieu.

    Si tu ressens cela, arrête-toi ! Et va prier ou peut-être te confesser, nettoyer un peu cela. Et cela fait du bien.


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    L'idolâtrie de l'argent

    Le pape le redit dans un tweet posté ce jeudi 18 décembre sur son compte @Pontifex_fr: "Le Seigneur l’a clairement  dit: vous ne pouvez servir deux maîtres. Ou Dieu ou les richesses."

    Le pape l'a dit clairement également dans "Evangelii Gaudium": les paragraphes concernant l'argent sont très directs (nn. 55-58).

    Le pape dit "non" à la "nouvelle idolâtrie de l’argent": "L’adoration de l’antique veau d’or (cf. Ex 32, 1-35) a trouvé une nouvelle et impitoyable version dans le fétichisme de l’argent et dans la dictature de l’économie sans visage et sans un but véritablement humain. La crise mondiale qui investit la finance et l’économie manifeste ses propres déséquilibres et, par-dessus tout, l’absence grave d’une orientation anthropologique qui réduit l’être humain à un seul de ses besoins : la consommation."

    Il dénonce les inégalités comme un "déséquilibre" qui "procède d’idéologies qui défendent l’autonomie absolue des marchés et la spéculation financière". Il diagnostique: "Ils nient le droit de contrôle des États chargés de veiller à la préservation du bien commun. Une nouvelle tyrannie invisible s’instaure, parfois virtuelle, qui impose ses lois et ses règles, de façon unilatérale et implacable. De plus, la dette et ses intérêts éloignent les pays des possibilités praticables par leur économie et les citoyens de leur pouvoir d’achat réel."

    Refus de l'éthique, refus de Dieu

    Le pape dénonce une "corruption ramifiée et une évasion fiscale égoïste qui ont atteint des dimensions mondiales" et que "l’appétit du pouvoir et de l’avoir ne connaît pas de limites".

    Il souligne les conséquences y compris pour l'environnement: "Dans ce système, qui tend à tout phagocyter dans le but d’accroître les bénéfices, tout ce qui est fragile, comme l’environnement, reste sans défense par rapport aux intérêts du marché divinisé, transformés en règle absolue."

    Il pape dit aussi "non" à l’argent "qui gouverne au lieu de servir" et son disgnostic s'affine encore: "Derrière ce comportement se cachent le refus de l’éthique et le refus de Dieu."

    Dieu est dangereux

    Et d'expliquer: "Habituellement, on regarde l’éthique avec un certain mépris narquois. On la considère contreproductive, trop humaine, parce qu’elle relativise l’argent et le pouvoir. On la perçoit comme une menace, puisqu’elle condamne la manipulation et la dégradation de la personne. En définitive, l’éthique renvoie à un Dieu qui attend une réponse exigeante, qui se situe hors des catégories du marché. Pour celles-ci, si elles sont absolutisées, Dieu est incontrôlable, non-manipulable, voire dangereux, parce qu’il appelle l’être humain à sa pleine réalisation et à l’indépendance de toute sorte d’esclavage. L’éthique – une éthique non idéologisée – permet de créer un équilibre et un ordre social plus humain. En ce sens, j’exhorte les experts financiers et les gouvernants des différents pays à considérer les paroles d’un sage de l’antiquité : « Ne pas faire participer les pauvres à ses propres biens, c’est les voler et leur enlever la vie. Ce ne sont pas nos biens que nous détenons, mais les leurs »."

    Il invite les dirigeants politiques à un "changement vigoureux d’attitude et à relever le "défi" d'une "éthique en faveur de l’être humain".


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